dimanche 28 février 2016
samedi 27 février 2016
Des animaux en détresse....
Des animaux en détresse...Et maltraités en France.
Ce regard malheureux qui nous interpelle.
Ils ne demandent qu'un peu d'amour.
On n'a pas le droit de les faire souffrir.
samedi 20 février 2016
Réaménagement de la traversée de commune à Petit-Wingen
Croisement rue des Vosges/route de Climbach avec rue des Châteaux-Forts, rue des Jardins et rue des Sapins au lieu-dit Petit-Wingen.
Le 10/02/2016, M.le Maire
de Wingen a présenté aux habitants ce projet. Le Bureau d’études l'a exposé en
présence d'un représentant du département.
Ce qui suit est l'avis de A. Willy Schumacher, admis en commentaire sur ce blog.
Liminaire : Il nous
a été précisé qu'il ne serait question que de l'aménagement d'un carrefour
routier avec positionnement sécurisé d'un arrêt de bus, de trottoirs, de
cheminement et passages ainsi que de places de parking. Les aménagement urbains
tels que « abribus », mobilier urbain, fontaines, panneaux d'information,
etc..ne font pas l'objet de ce projet.
Nous pensons néanmoins
qu'il faut les préciser pour que l'infrastructure nécessaire soit déjà
incorporée au « schéma routier », réseaux divers par exemple.
Sur le plan présenté nous
avons identifiés des points plus ou moins critiques.
Sur la
circulation :
-
- Le raccordement rue des Châteaux-Forts/rue des Vosges nous paraît sécurisé. Il faut veiller a ce que l'espace vert et le trottoir sur le pignon du Restaurant soit réellement inaccessible aux véhicules. Un élément en grès des Vosges serait tout à fait approprié au caractère de cette place. La signalétique devra être placé quelques mètres avant la jonction pour ne pas déparer l'aménagement des fontaines.
-
- Le raccordement rue des Sapins/route de Climbach est totalement in-sécurisé. De l'expérience des usagers il ressort :
Pour un véhicule venant
de la rue des Sapins : il y a un angle mort pour voir l'arrivée d'un
véhicule venant route de Climbach. Cette rue a un goulot d'étranglement de 3,71m
de large, au droit de l'entrée de la maison au n°3.Il n'y a pas de trottoir pour
sécuriser le passage des piétons. Les voitures ne peuvent évidemment pas se
croiser, à fortiori les éventuels grumiers, tracteurs et autres poids lourds. Le
cheminement des riverains depuis la rue des Sorbiers des Oiseleurs et le chemin
des Bosquets est périlleux, la vitesse n'étant pas drastiquement réduite.
Pour un véhicule venant
route de Climbach allant rue des Sapins, il est de pratique courante que le
conducteur se déporte complètement à gauche pour effectuer un presque demi-tour.
Il s'expose évidemment ainsi aux véhicules venant de la rue des Vosges qui ne
peuvent pas le voir.
La disposition des maisons,
de cette rue (ancien chemin rural) et des pentes, font qu'il n'est pas possible
de se raccorder perpendiculairement à la chaussée principale. Il faut donc que
la vitesse à cet endroit soit très limitée pour permettre à chaque usager
d’appréhender à temps les mouvements.
Sur les
trottoirs :
Les trottoirs compte tenu
du positionnement actuellement proposé de l’arrêt de bus, semblent cohérent.
Néanmoins cet arrêt est trop éloigné du débouché de la rue des
Châteaux-Forts/rue des Vosges, rue des Jardins et de la rue des Sapins et de
surcroît du côté direction Climbach, les piétons traverseront en ligne
droite !
Sur les places de
stationnement :
Deux places sont proposées
ce qui est bien évidemment très insuffisant. L'habitude actuelle pour les
clients du restaurant et de la ferme, continuera avec stationnement sur la
chaussée.
Sur le traitement des
surfaces :
Asphalte pour la
départementale et les rues. Traitement différencié pour les espaces piétons.
La traversée de ce
carrefour bien que ralentie par des « chicanes » à l'entrée route de Climbach ne
se distinguera pas de la route « plein champs ».
oOo
Il nous semble que ce
carrefour devait être transformé en PLACE avec une
vitesse de circulation au pas.
Alors :
L'abribus, les panneaux
d'information, un éclairage convivial seraient placés au centre là ou ils sont
actuellement.
Le stationnement de
véhicules pourraient se faire plus librement sur un coté de chaussée.
Les piétons pourraient
emprunter les trottoirs et passages sans être surpris par les surgissements trop
rapides de véhicules de toutes nature.
La chaussée serait
rehaussée significativement avec des rampes de ralentissement (sans gène
mécanique excessive) et un revêtement considérablement différent de
l'asphalte.avec un éclairage concentré sur le carrefour et les aménagements
urbains.
Un ralentissement ainsi
provoqué sur une centaine de mètre ne ferait guère perdre de temps au
franchissement du carrefour (11 sec de plus entre 20 et 50 km/h !) et permet de
freiner sur 2m au lieu de 14m ! Ceci démontre l'incomparable bénéfice de
sécurité : visibilité, perception des mouvements et appréhension des man?uvres. Rappel pour ceux qui pestent contre
les ralentissements !
La sortie ou l'entrée des
véhicules dans la rue des Sapins qui se font « au pas » serait compatible avec
un même trafic « au pas » sur la route de Climbach !
Qu'est-ce que 11 secondes
de « perdues » pour éviter le pire.
Actuellement, à Lembach, à
Woerth, la vitesse est limitée à 30 km/h de part et d'autre du carrefour ! Et
même à Wingen, de part et d'autre du carrefour de la Mairie.
En conclusion une réduction de la vitesse, physiquement et réglementairement imposée, permettrait de disposer librement les aires et aménagements nécessaires.
A. Willy
Schumacher
jeudi 18 février 2016
Le village de Petit Wingen...Le Maire...La demande de plus de sécurité routière...
IL FAUT REGARDER
L'INTERET GENERAL
Ca part du bon sens.
Un maire doit servir ceux
qui l'ont élu.
Le maire ne doit pas abuser de son pouvoir pour imposer son choix et son veto dans n'importe quel domaine. Le conseil municipal est habilité pour prendre des décisions.
Petit rappel...
Le maire est sous l'autorité du Préfet. Il est agent de l'Etat, et agent de la commune.
Il est sous l'autorité du procureur de la République et exerce les fonctions dans le domaine judiciaire.
Il est officier d'état civil et officier de police judiciaire.
Il est chargé de maintenir l'ordre public.
Le maire est chargé de l'exécution des décisions du conseil municipal, et agit sous le contrôle
du conseil.
- - - - - - - - - - - - - - -
A Petit Wingen, la circulation routière sur la place et les petites ruelles adjacentes, doit être revue,
repensée.
Une circulation douce ne dépassant pas 30km à l'heure est demandée par la majorité des habitants
de notre très petit village aux ruelles sinueuses et sans visibilité.
Circulation douce; également au croisement des : rue des Vosges, rte de Climbach, rue des Châteaux
Forts, rue des Jardins, Rue des Sapins.
Pour aller depuis la rte de Climbach dans la rue des Sapins, est une manoeuvre très dangereuse et tout à fait
contraire aux règles du Code de la route !
Depuis 2007 cette demande a été faite à l'élu de village qui avait répondu : Ce n'est pas nécessaire étant
donné que la vitesse limitée ne sera pas respectée ! Réponse saugrenue !
C'est faux. La grande majorité des conducteurs respectent les panneaux de signalisation !
Il s'est soustrait à son devoir.
IL FAUT REGLER LES PROBLEMES DANS L'INTERET GENERAL
Ca part du bon sens. Et en aucun cas, il ne devrait y avoir un quelconque ressentiment envers
un tiers...Ce serait bien dommageable.
Le Club blogger M du Coche
mardi 16 février 2016
Les nantis et les privilégiés de la France...qui vivent aux crochets des français !
Ils ne sont plus au pouvoir ( certain depuis plus de 30 ans ) mais ils croassent encore !
Nous constatons que ce gouvernement, insatisfait les Français...
Mais le Peuple peut il claquer la porte à ce gouvernement de nantis et de privilégiés ?
Bonne question. La réponse est à trouver...
Giscard a coûté aux contribuables français, depuis qu'il est à la retraite, 75 millions d'euros !!!
Colossal ! Il n'a plus de responsabilité, ne travaillant plus, il touche tout de même par an 2,5 millions d'euros.
Tous les anciens présidents et premiers ministres retraités vivent ainsi grassement aux crochets des français
qui travaillent...Ils pillent la France ... Et durant ce temps l'état impose la rigueur aux français !
François Mitterand, alors président de la Répubique avait demandé à Laurent Fabius d'imaginer une rétribution après un mandat de président. Laurent Fabius avait alors rédigé une simple lettre avec des propositions...très lucratives évidemment !
Selon la constitution, chaque dépense doit être votée au parlement par les députés.
Respecter les lois est réservé aux citoyens. Les privilégiés, nous constatons qu'ils s'en passent, et qu'ils se servent dans la caisse ! On peut le dire comme ça.
Nous aimerions claquer la porte à tous ces nantis qui vivent aux crochets des pauvres français.
Et des français pauvres il y en a de plus en plus !
La Mouche
lundi 15 février 2016
Le Père Henri Boulad...Sa diatribe contre l'Occident ! ( Accrochez-vous c'est très long )
Henri Boulad Directeur du Centre Jésuite d'Alexandrie
Quand
vous mettez le pied sur une fourmilière, ne soyez pas surpris de voir les
fourmis vous envahir.
C’est
mathématique, comme deux et deux font quatre.
Il est étrange de voir qu’une Europe toute pétrie de culture et de rationalité se trouver tout à coup désemparée face au raz-de-marée de réfugiés qui déferle sur son territoire.
C’était pourtant prévisible, aussi logique que le principe des vases communicants. On pense toujours que le danger est fictif, éloigné et qu’un pareil scénario est impensable. Mais voilà qu’on est tout à coup rattrapé par la réalité, qui vous frappe de plein fouet.
Il est étrange de voir qu’une Europe toute pétrie de culture et de rationalité se trouver tout à coup désemparée face au raz-de-marée de réfugiés qui déferle sur son territoire.
C’était pourtant prévisible, aussi logique que le principe des vases communicants. On pense toujours que le danger est fictif, éloigné et qu’un pareil scénario est impensable. Mais voilà qu’on est tout à coup rattrapé par la réalité, qui vous frappe de plein fouet.
Que
diable êtes-vous venus faire dans notre Moyen-Orient, demandent ces réfugiés ?
Quelle mouche vous a piqués ? – L’appât du gain et de territoires à conquérir ?
L’odeur du pétrole et du gaz naturel ? Vous pensiez qu’il suffisait de renverser
un ou deux dictateurs pour que ces pays tombent dans votre escarcelle. Mais les
choses sont bien plus compliquées.
Cessez
donc de lorgner vers nos pays pour convoiter leurs richesses. Cessez
d’intervenir dans nos affaires et de faire main basse sur nos ressources. Un
journaliste occidental demandait un jour à Bachar el-Assad : « Que pouvons-nous
faire pour vous aider ? » Sa réponse fut : « Fichez nous la paix, rentrez chez
vous et laissez-nous régler nos problèmes entre nous. »
Ces
masses qui déferlent aujourd’hui sur votre continent étaient très bien chez
elles. Elles vivaient relativement heureuses dans leur maison, leur village,
leur ville… avec un confort relatif et une sécurité garantie par des régimes
musclés. Appelez-les des dictatures si vous voulez. Mais vos régimes
« démocratiques » sont-ils pour autant meilleurs ?
Pour
renverser ces dictatures vous avez formé et financé des hordes de barbares. Pour
les motiver, vous avez encouragé les idéologies les plus rétrogrades en
habillant cette mascarade de grands mots : liberté, démocratie, droits de
l’homme… L’hypocrisie et la duplicité ont rarement atteint un tel degré
d’effronterie.
Cependant, par un retour de flamme et un effet boomerang, le
chaos que vous avez créé chez nous se retourne aujourd’hui contre vous. Tôt ou
tard, la justice finit par l’emporter.
On parlait autrefois de « justice immanente ». Eh bien oui, il faut y croire : justice sera, justice se fera. Jésus nous a prévenu : « Celui qui use du glaive périra par le glaive ». Cela peut prendre du temps, mais ça finit un jour par arriver.
On parlait autrefois de « justice immanente ». Eh bien oui, il faut y croire : justice sera, justice se fera. Jésus nous a prévenu : « Celui qui use du glaive périra par le glaive ». Cela peut prendre du temps, mais ça finit un jour par arriver.
Quand on
vous parlait du Tiers-monde, de sa misère, de ses guerres, de ses famines,
c’était pour vous abstrait, lointain, irréel. Vous regardiez cela à la
télévision d’un œil distrait et indifférent pour passer aussitôt au match de
foot ou au défilé de mode.
A
présent, ces populations sont sur vos routes, elles défilent sous vos fenêtres,
en attendant d’envahir vos maisons. Vous les entendez taper, hurler, gronder,
réclamer, revendiquer. La chose ne se passe plus à des dizaines de milliers de
kilomètres par écrans interposés, mais à vos portes, sous votre nez. Vous
comprenez tout à coup que ce qui était lointain et hypothétique est devenu une
dure et brutale réalité.
Chaque
pays a le droit et le devoir de sauver son identité, sa culture, ses valeurs,
ses principes, son heritage.
Accueillir ces gens dans vos foyers, comme vous y invite le Pape
François, n’est qu’un palliatif, une solution provisoire, irréaliste. On ne
peut, au nom de grands principes humanitaires, ouvrir ses portes pour accueillir
toute la misère du monde.
Cependant, entre une ouverture tous azimuts et une fermeture systématique, il y a un juste milieu à trouver, un « seuil de tolérance » à respecter, des limites à ne pas franchir, sous peine de se voir engloutir, submergé. Chaque pays a le droit et le devoir de sauver son identité, sa culture, ses valeurs, ses principes, son héritage.
Cependant, entre une ouverture tous azimuts et une fermeture systématique, il y a un juste milieu à trouver, un « seuil de tolérance » à respecter, des limites à ne pas franchir, sous peine de se voir engloutir, submergé. Chaque pays a le droit et le devoir de sauver son identité, sa culture, ses valeurs, ses principes, son héritage.
Il faut
donc que l’occident mette au point une juste politique d’accueil et
d’intégration.
Toute personne ou groupe qui refuse de s’adapter aux normes du pays qui l’accueille devrait être immédiatement exclu. « Tu es le très bienvenu chez nous, mais si tu ne veux pas t’adapter, eh bien, rentre chez toi par le premier avion. »
Toute personne ou groupe qui refuse de s’adapter aux normes du pays qui l’accueille devrait être immédiatement exclu. « Tu es le très bienvenu chez nous, mais si tu ne veux pas t’adapter, eh bien, rentre chez toi par le premier avion. »
Ce juste
milieu est possible, à condition que chaque pays fixe des lois claires
d’intégration et les applique de façon stricte, sans céder à l’intimidation, aux
pressions et au « politiquement correct ».
Mais
au-delà d’une sage politique d’accueil, il faut chercher plus profond la racine
du mal. Celle-ci gît dans l’effrayant déséquilibre qui existe entre une poignée
de nantis et le reste du monde, entre pays riches et pays pauvres. Pour tenter
d’y remédier, des milliers d’associations d’aide humanitaire et de promotion au
développement sont nées. Tout cela n’est encore qu’un palliatif.
Ce qu’il faut, c’est une réforme radicale au niveau planétaire. Le monde est à repenser à neuf, sur la base de principes et de valeurs, et non d’intérêts et de profits.
Ce qu’il faut, c’est une réforme radicale au niveau planétaire. Le monde est à repenser à neuf, sur la base de principes et de valeurs, et non d’intérêts et de profits.
Il faut
que ces millions de déracinés se trouvent heureux chez eux, car ils ne le seront
pas ailleurs, malgré tous les avantages matériels qu’ils pourraient y trouver.
Cet occident qui miroite à leurs yeux n’est finalement qu’un mirage.
Transplantés dans une autre culture et une autre mentalité, les réfugiés se
trouvent perdus et malheureux. On ne sort pas impunément un poisson de son
eau.
Nous
sommes dans un monde UN et solidaire. Le bonheur de chacun dépend de celui de
tous. D'où l’urgence de mettre en œuvre ce « principe de responsabilité » prôné
par Hans Jonas. La mondialisation en cours suppose une nouvelle approche des
problèmes. Comme le disait Teilhard de Chardin il y a près de cent ans : « L’âge
des nations est passé. Il s’agit pour nous, si nous ne voulons pas périr, de
secouer les anciens préjugés, et de construire la Terre.”
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Einstein formulait une idée similaire : « Une nouvelle manière de penser est nécessaire si nous voulons survivre. »
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Einstein formulait une idée similaire : « Une nouvelle manière de penser est nécessaire si nous voulons survivre. »
Aujourd’hui, l’urgence des urgences c’est un véritable sursaut,
un supplément d’âme, un réarmement moral. Changer les politiques ou les
dirigeants ne résout rien. Ce qu’il faut, c’est un réveil de la conscience, une
conversion du coeur, une volonté farouche de s’attaquer aux racines du mal qui
sont au fond de chacun de nous.
Tel devrait être le rôle des religions, à condition que celles-ci ne se dégradent pas en idéologies et ne deviennent pas des vecteurs de fanatisme, de fascisme et d’intolérance.
Tel devrait être le rôle des religions, à condition que celles-ci ne se dégradent pas en idéologies et ne deviennent pas des vecteurs de fanatisme, de fascisme et d’intolérance.
***
Reproduction autorisée avec la
mention suivante : © Henri Boulad sj, pour Dreuz.info.
Inscription à :
Articles (Atom)
hit parade
-
Lettre ouverte à l'exilé....... inapte au bonheur par Kamel DAOUD Je te rencontre souvent en Occident. Lors d'une...
-
Kamel Daoud est sous le coup d'une fatwa en Algérie pour ses écrits... Une pétition dans le journal , Le Monde, signée par des i...