mercredi 1 juin 2016
²Martinez.....ça suffit....t'es allé trop loin !!!
84 %des français consultés, ont une mauvaise opinion du syndicaliste.
65 % des français ont dit qu'il n'est pas ouvert au dialogue et est incapable de proposer des solutions efficaces.
Les nombreux blessés dont certains graves et les dégradations des biens public et privé, et tous les français privés de leur liberté de se rendre au travail,
cette une atteinte grave.
Faire la grève pour défendre des intérêts, on la fait dans la dignité. On respecte ceux qui veulent travailler.
On ne se laisse pas aller à cette fureur dans la violence !
La France est prise en otage, par ce petit bonhomme qui vaut pas grand'chose ? Une tête de mule ?
Encore un espagnol au tempérament " fuego " qui secoue notre pays ! On avait déjà Valls....
Les français disent " ça suffit " point final !
La Mouche
lundi 30 mai 2016
Ma gorge s'est serrée.... à la lecture émouvante... du récit du maire de Hatten François Fenninger...
La vie...La maladie...Le désarroi. Le Maire raconte...
Ce jour-là, il est 15 heures lorsque
je quitte la mairie. Au coin de la rue, j'aperçois une connaissance de longue date arrêtée au milieu du
trottoir : Henri. 90 ans dans quelques mois, canne à la main.
L'air hésitant. le regard bizarre,
perdu. Je m'approche lentement, stoppe le moteur : « je suis
seul depuis dix jours, m'apprend-il. Erna,
ma femme, doit rentrer de l’hôpital ce soir... je cherche ma
maison mais je ne la trouve pas."
Étonne, je l'oriente vers la bonne
direction, roule lentement à côté de lui sur une centaine de
mètres.
"Ma maison ? Non, ce n'est pas ma
maison, ce n'est pas la cour... Je ne peux pas entrer là, ce n'est
pas chez moi." Patience et dialogue... J'arrive à le faire
monter les marches, je l'aide à entrer dans sa maison, je le fais asseoir dans son fauteuil, lui montre un ancien portrait en compagnie d'Erna... Le voilà rassuré. Heureusement. Je
connais les lieux.
Mais je dois m'absenter, j'ai un rendez-vous
communal : "Restez là. Henri. Tout va bien. Je suis de retour
dans une heure." Mon entretien me semble d'une longueur... Je
l'abrège poliment, passe à la maison, embarque ma femme :
"Vite, quelqu'un a besoin d'aide. Je le sens... J'avais raison.
Une ambulance est arrêtée dans la
rue. Deux jeunes ambulanciers sortent l'épouse tant attendue, Erna, 91 ans depuis le 2 mai, est
incapable de marcher après douze jours à l'hôpital. Ils l'assoient
sur une chaise roulante, la font monter le petit escalier d’entrée,
l'installent dans un fauteuil du salon, replient leur matériel,
leurs couvertures, sortent.
Après ma question, et maintenant ?,
ils me remettent deux fiches médicales et une
enveloppe fermée. “Nous avons fait notre travail: nous avons fait le trajet
Strasbourg - Wissembourg pour chercher cette personne âgée à
l'hôpital et l'amener ici. Maintenant, nous devons retourner à
Strasbourg." Très sympathiques, mais presses, d'autres malades
attendent.
Sidéré par cet abandon, je suis
presque aussi désemparé que les deux anciens qui me regardent. Me
voilà en face d'Henri qui a l'air
d'avoir retrouvé une partie de ses esprits depuis le retour de son épouse ; D'Erna immobile dans son
fauteuil, assise devant moi, ses grands veux tristes grands ouverts
dans lesquels je lis un désarroi complet, une supplication muette :
"Ne nous abandonnez pas... Ne nous laissez pas seuls." Une
émotion indescriptible, des pensées confuses se bousculent en
moi...
Les soucis quotidiens du maire - le
chien du voisin qui aboie sans cesse, la branche d'arbre qui dépasse de la clôture chez le voisin,
le lampadaire qui s'est éteint cette nuit et qu'il faut réparer
tout de suite, le trou dans la chaussée
qu'il faut boucher tout de suite... - me semblent bien loin. Comme
ils sont petits, ces problèmes, comme ils sont mesquins, à en
devenir ridicules...
Car le seul problème, le vrai, l'unique, est un
problème humain, juste devant moi : comment aider ces deux
malheureux ?
Car ils ont toujours été
accueillants. si aimables. Pas d'enfant. Pas de famille. Personne.
Sauf des relations. Ils sont seuls...
Quelles solutions ? D'abord prévenir
les amies du couple du retour d'Erna. Ensuite demander conseil au
cabinet médical. Pas de chance, le médecin traitant est en congé
cet après-midi-là. Heureusement, une médecin remplaçante est
prête à me recevoir. J'arrive, attend la fin de sa consultation en cours. Elle se
révèle très sympathique tout aussi étonnée de cette situation
surprenante d'abandon que j'expose. Coups de téléphone de sa part,
hélas sans succès : il est vrai que nous sommes en fin d'après-midi
et que certains services sont déjà fermés. Drôle de système de
santé !
Je repars : mais que vais-je faire ?
Heureusement, les amies Angèle et
Colette sont arrivées chez Erna.
Heureusement, l'aide-soignante est là
aussi et distribue les comprimés pour Henri - mais elle a une
tournée à faire, doit repartir.
Heureusement aussi l'auxiliaire de vie
est arrivée pour préparer le repas d'Henri : elle va le faire pour
deux, Les choses s'arrangent un peu et les amies rejoignent leur
foyer.
Heureusement que cette dévouée auxiliaire de vie accepte de dépasser ses horaires de présence car tout est chronométré, ce que j'ignorais : seul où à deux, je ne sais comment on aurait réussi à mettre Erna au lit !
Heureusement que cette dévouée auxiliaire de vie accepte de dépasser ses horaires de présence car tout est chronométré, ce que j'ignorais : seul où à deux, je ne sais comment on aurait réussi à mettre Erna au lit !
Derniers échanges de paroles avec le
couple. Chacun se veut rassurant. Henri devra s'occuper de lui-même : revoir son épouse a été
un stimulant, lui a fait retrouver un équilibre... Il va se
débrouiller ! L'auxiliaire de vie et mon épouse sortent avec
moi. Ema et Henri restent seuls. Demain viendront le médecin de
famille, 1'assistante sociale, l'infirmière, les aides, les amies...
La vie reprendra un cours normal et adapté aux besoins de ce couple
marié depuis soixante-et-un ans!
N’empêche. Cette expérience
inattendue a laissé des traces en moi : est-ce cela, notre système
de
santé qui abandonne les plus
abandonnés ? Je comprends un peu mieux les manifestations de rue des infirmières ou des employés
qui sont confrontés tous les jours à des dizaines de cas
identiques. Est-ce cela, le système de fin de vie qui m'attendra un
jour ?
Épouvantables pensées où la vie et
la mort sont si proches... Mais immense reconnaissance à ceux
qui se dévouent toute l'année pour
aider ou soutenir un malade, une personne âgée ou isolée... Tous
mériteraient une médaille ! ››
Le Maire
Il n'y a rien à ajouter à ce texte. Sinon qu'il faut s'aimer un peu, un minimum dans ce monde d'égoïsme, d'individualisme, d'indifférence, de fureur. Se tendre la main dans des situations difficiles et s'aider si le besoin se fait sentir. Le chemin à parcourir sera long...Il y a des petits quartiers, les gens se connaissant bien, ne se saluent pas et ne se parlent pas, durant des années. Même les petits enfants voisins, durant la belle saison, ne jouent pas entre eux. Un apartheid ? dans un petit village ?
Dans un petit lotissement de 5, 6 maisonnettes à l'orée de la forêt où les enfants devraient crier de bonheur???
Mais quel monde sommes nous en train de créer ? Des barbelés invisibles ?
Le chemin sera long et difficile, je le crains...
La Mouche
Le Maire
Il n'y a rien à ajouter à ce texte. Sinon qu'il faut s'aimer un peu, un minimum dans ce monde d'égoïsme, d'individualisme, d'indifférence, de fureur. Se tendre la main dans des situations difficiles et s'aider si le besoin se fait sentir. Le chemin à parcourir sera long...Il y a des petits quartiers, les gens se connaissant bien, ne se saluent pas et ne se parlent pas, durant des années. Même les petits enfants voisins, durant la belle saison, ne jouent pas entre eux. Un apartheid ? dans un petit village ?
Dans un petit lotissement de 5, 6 maisonnettes à l'orée de la forêt où les enfants devraient crier de bonheur???
Mais quel monde sommes nous en train de créer ? Des barbelés invisibles ?
Le chemin sera long et difficile, je le crains...
La Mouche
vendredi 27 mai 2016
Que la France se calme...Reprenons les négociations !
Hollande et Valls n'ont pas su et ne savent pas parler, ni expliquer aux français...
Une constatation...
Le 1er est hésitant, traîne sur les mots.
Le 2° est autoritaire.
Ca ne rassure pas le citoyen. Et la rue n'accepte pas l'autoritarisme, point !
Appliquer, pour faire passer des réformes, l'article 49/3 le montre bien...
Ce qu'il faut changer dans cette loi, c'est cette baisse de rémunération des heures supplémentaires. Seulement 10% au lieu de 25%
Même s'il faut recourir au vote au sein de l'entreprise pour l'appliquer.
Le risque de baisse des salaires est inacceptable.
A coté les grands patrons ont des revenus faramineux...( Mais çà cette une autre histoire )
La CGT Martinez en tête est allé trop loin... Les français, et la France n'est pas un pays a être pris
en otage par les grévistes, et les violents de tous bords.
Arrêtons les casses et les violences...c'est un souffle de guerre civile....
Il faut déposer Valls et Martinez qui sont autoritaires et mauvais négociateurs.
Et les remplacer par des personnes compétentes, intelligentes et censées et plus subtiles surtout !
Que les négociations reprennent. La paix doit revenir dans notre beau pays.
La France a ses atouts ne les réduisons pas à néant.
La Mouche
jeudi 26 mai 2016
mercredi 18 mai 2016
Les officiels .....Vue sur la fontaine asséchée et l'abri bus délabré....Petit Wingen..
Les Officiels ont coupé le ruban rouge et blanc (couleur du drapeau alsacien, mais ils ne l'ont pas fait exprès) lors de l'inauguration
du terrain de pétanque à Nothweiler à la frontière avec l'Allemagne.
L'entraide, le maire de Wingen et le maire allemand de Nothweiler fonctionne bien. Les bénévoles étaient présents également et
La dégustation de tartes flambées a permis de trouver les fonds nécessaires à la réalisation du projet.
A Petit Wingen, nous n'avons pas de moyens...Hélas !
La Fontaine sur la petite place est asséchée depuis quelques années. Elle était alimentée par une source d'eau naturelle.
L'abri bus est vieux comme le monde,et est plus que délabré. Notre maire a dit qu'il faudra attendre...pour le remplacer.
Nos trottoirs sont tous défoncés, et le resterons pour bien longtemps encore. La commune est pauvre...et aucune date
n'a été retenue pour une éventuelle réfection.
Alors à Petit Wingen, il faudra un peu se creuser la cervelle et trouver un petit buisness qui pourrait financer la réfection des trottoirs ? de cette commune pauvre et endettée par dessus le marché ?
La municipalité a sans doute trop dépensé pour l'aménagement du centre de Grand Wingen et elle n'a pas lésiné sur les moyens. Il fallait que ça présente...
Stationnement alterné, refuges, parkings, ralentisseurs, fontaine et une pléthore de panneaux signalétiques !
Ca a coûté " bonbons "
Des places de stationnement ont été crées à gauche sur le haut de la côte, bouchant ainsi la route aux véhicules arrivant depuis l'autre versant ! C'est dangereux...
Ces nouvelles places de stationnement servent essentiellement à une entreprise locale qui devrait avoir son propre parking !
Eh ! bien organisons la Fête de la Fontaine Asséchée...
Au menu " Sanglier à la broche " arrosé d'un blanc d'Alsace
" Le cru de la Fontaine qui coule "
A l'occasion, on invitera le Maire pour couper le ruban aux couleurs de la France.
La Mouche
lundi 16 mai 2016
Messieurs les députés de l'Assemblée...
Ce ne sont pas des maladresses mais des plaisanteries débiles que vous avez faites aux femmes.
Réflexions sexistes que l'on n'a aucune envie
de décrire, tant elles gênent.
Des blagues crues de bas niveau, qu'on ne pensait
entendre, de la bouche de ces Messieurs en col blanc...
L'Assemblée ressemble à un poulailler où les
hommes caquettent lorsqu'une femme prend la
parole.
Il n'y a pas de supériorité de l'homme sur la
femme, même si ces messieurs en sont imbus...
mais de l'imbécillité !
Lorsque qu'un élu se permet d'être odieux
envers une femme, déjà il dépasse la ligne
jaune.
L'autorité de ceux qui nous gouvernent, et nous servent, ne rime pas avec incivilité !
La Mouche
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