samedi 5 mars 2016

Ces enfants...dans la boue, la pluie et le froid de l'hiver...


Accueillons ces familles et ces enfants...dans la boue, la pluie et le froid de l'hiver, parquez derrière les barbelés d'un autre temps !

Il est vrai que nous voyons dans le migrant,en premier, son statut de réfugié fuyant la misère. Puis celui de sa culture spécifique.

Maintenant que Kamel Daoud nous a dévoilé la psychologie, l'emprise de l'islam sur tous ceux qui vivent leur religion intensément, nous mesurons
d'autant plus le fossé qui sépare l'orient de l'occident et les difficultés à vivre ensemble.

Nous ne pouvons pas prendre toutes ces responsabilités. Nos valeurs, surtout celles concernant les femmes,
nous les partagerons avec les musulmans, à condition qu'ils les acceptent et les respectent.
Ce sera à eux de faire les efforts nécessaires. Ils doivent s'intégrer, respecter les lois de notre pays.

Nous avons en France des imams qui prêchent un islam radical incompatible avec les temps modernes
du 21° siècle.
Mais qui ira convertir tous les orientaux à une pratique religieuse modérée, surtout pour les populations
vivant en terre chrétienne ?
Cette tâche et cette responsabilité incombera à des prêcheurs de paix qui auront la force et le courage
à faire évoluer de l'obscurantisme à la lumière.

Pour le malheur de l'homme, les religions avaient imposé des dogmes, des lois autoritaires, des croyances,
par la peur, les tortures, la terreur, les massacres sans oublier les guerres !
Elles nous avaient confisqués notre liberté de penser, confisqués aussi notre vie d'homme ou de femme libre!

Constat : encore une fois pour le malheur de l'humanité,  au 21° siècle, on en est toujours au même stade !

La Mouche

jeudi 3 mars 2016

Michel Onfray soutient Kamel Daoud.( La Femme...toujours ! )





Kamel Daoud est sous le coup d'une fatwa en Algérie pour ses écrits...
Une pétition dans le journal , Le Monde, signée par
des intellectuels français de gauche, le critiquent et l'accablent également !

Il est écrivain, et penseur libre.
Il a expliqué la femme, imaginée par les islamistes.
Pour certains d'entre eux, elle ne représente rien dans
leur conscient.
Un voile noir qui dissimule un corps fantôme.
Le corps de la femme n'existant pas...
Une créature qui ne s'appartient pas. Elle est soumise
à ceux qui l'a possèdent !

Michel Onfray soutient et défend Kamel Daoud pour
son analyse sur la femme musulmane et les viols à Cologne. ( article du 2.3.2016 )

Il est fort regrettable que nos intellectuels de gauche soient si peu " intellectuel "
Dans ce  " Petit Village Carré Parisien "  à l'horizon bouché, vous êtes bien démunis !
Que vienne un souffle extérieur, vous voilà tous "grippés et enrhumés"

Il n'y a  ni culture ni pensée unique, et vous le savez bien. Pauvres c...
Analysons ce que Kamel Daoud nous dévoile. Essayons de décrypter ces esprits tourmentés,
encombrés. Une tornade est passée par là, apportant ténèbres et malheur...Ce sera pas facile !

La Mouche

mercredi 2 mars 2016

Que s’est-il passé à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre ? La femme est niée par les islamistes !

Par Kamel Daoud (Écrivain)

Que s’est-il passé à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre ? On peine à le savoir avec exactitude en lisant les comptes rendus, mais on sait – au moins – ce qui s’est passé dans les têtes. Celle des agresseurs, peut-être ; celle des Occidentaux, sûrement.
Fascinant résumé des jeux de fantasmes. Le « fait » en lui-même correspond on ne peut mieux au jeu d’images que l’Occidental se fait de l’« autre », le réfugié-immigré : angélisme, terreur, réactivation des peurs d’invasions barbares anciennes et base du binôme barbare-civilisé. Des immigrés accueillis s’attaquent à « nos » femmes, les agressent et les violent.
Cela correspond à l’idée que la droite et l’extrême droite ont toujours construite dans les discours contre l’accueil des réfugiés. Ces derniers sont assimilés aux agresseurs, même si l’on ne le sait pas encore avec certitude. Les coupables sont-ils des immigrés installés depuis longtemps ? Des réfugiés récents ? Des organisations criminelles ou de simples hooligans ? On n’attendra pas la réponse pour, déjà, délirer avec cohérence. Le « fait » a déjà réactivé le discours sur « doit-on accueillir ou s’enfermer ? » face à la misère du monde. Le fantasme n’a pas attendu les faits.


Le rapport à la femme

Angélisme aussi ? Oui. L’accueil du réfugié, du demandeur d’asile qui fuit l’organisation Etat islamique ou les  guerres récentes pèche en Occident par une surdose de naïveté : on voit, dans le réfugié, son statut, pas sa culture ; il est la victime qui recueille la projection de l’Occidental ou son sentiment de devoir humaniste ou de culpabilité. On voit le survivant et on oublie que le réfugié vient d’un piège culturel que résume surtout son rapport à Dieu et à la femme.

En Occident, le réfugié ou l’immigré sauvera son corps mais ne va pas négocier sa culture avec autant de facilité, et cela, on l’oublie avec dédain. Sa culture est ce qui lui reste face au déracinement et au choc des nouvelles terres. Le rapport à la femme, fondamental pour la modernité de l’Occident, lui restera parfois incompréhensible pendant longtemps lorsqu'on parle de l’homme lambda.
Il va donc en négocier les termes par peur, par compromis ou par volonté de garder « sa culture », mais cela changera très, très lentement. Il suffit de rien, du retour du grégaire ou d’un échec affectif pour que cela revienne avec la douleur. Les adoptions collectives ont ceci de naïf qu’elles se limitent à la bureaucratie et se dédouanent par la charité.
Le réfugié est-il donc « sauvage » ? Non. Juste différent, et il ne suffit pas d’accueillir en donnant des papiers et un foyer collectif pour s’acquitter. Il faut offrir l’asile au corps mais aussi convaincre l’âme de changer. L’Autre vient de ce vaste univers douloureux et affreux que sont la misère sexuelle dans le monde arabo-musulman, le rapport malade à la femme, au corps et au désir. L’accueillir n’est pas le guérir.

« La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l’âme »

Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée. Cela dénote un rapport trouble à l’imaginaire, au désir de vivre, à la création et à la liberté. La femme est le reflet de la vie que l’on ne veut pas admettre. Elle est l’incarnation du désir nécessaire et est donc coupable d’un crime affreux : la vie.
C’est une conviction partagée qui devient très visible chez l’islamiste par exemple. L’islamiste n’aime pas la vie. Pour lui, il s’agit d’une perte de temps avant l’éternité, d’une tentation, d’une fécondation inutile, d’un éloignement de Dieu et du ciel et d’un retard sur le rendez-vous de l’éternité. La vie est le produit d’une désobéissance et cette désobéissance est le produit d’une femme.
L’islamiste en veut à celle qui donne la vie, perpétue l’épreuve et qui l’a éloigné du paradis par un murmure malsain et qui incarne la distance entre lui et Dieu. La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l’âme. L’islamiste est tout aussi angoissé par la femme parce qu’elle lui rappelle son corps à elle et son corps à lui.


La liberté que le réfugié désire mais n’assume pas

Le corps de la femme est le lieu public de la culture : il appartient à tous, pas à elle. Ecrit il y a quelques années à propos de la femme dans le monde dit arabe : « A qui appartient le corps d’une femme ? A sa nation, sa famille, son mari, son frère aîné, son quartier, les enfants de son quartier, son père et à l’Etat, la rue, ses ancêtres, sa culture nationale, ses interdits. A tous et à tout le monde, sauf à elle-même. Le corps de la femme est le lieu où elle perd sa possession et son identité. Dans son corps, la femme erre en invitée, soumise à la loi qui la possède et la dépossède d’elle-même, gardienne des valeurs des autres que les autres ne veulent pas endosser par [pour] leurs corps à eux. Le corps de la femme est son fardeau qu’elle porte sur son dos. Elle doit y défendre les frontières de tous, sauf les siennes. Elle joue l’honneur de tous, sauf le sien qui n’est pas à elle. Elle l’emporte donc comme un vêtement de tous, qui lui interdit d’être nue parce que cela suppose la mise à nu de l’autre et de son regard. »


« On voit, dans le réfugié, son statut, pas sa culture ; il est la victime. On voit le survivant et on oublie que le réfugié vient d’un piège culturel que résume surtout son rapport à Dieu et à la femme »


Une femme est femme pour tous, sauf pour elle-même. Son corps est un bien vacant pour tous et sa « malvie » à elle seule. Elle erre comme dans un bien d’autrui, un mal à elle seule. Elle ne peut pas y toucher sans se dévoiler, ni l’aimer sans passer par tous les autres de son monde, ni le partager sans l’émietter entre dix mille lois. Quand elle le dénude, elle expose le reste du monde et se retrouve attaquée parce qu’elle a mis à nu le monde et pas sa poitrine. Elle est enjeu, mais sans elle ; sacralité, mais sans respect de sa personne ; honneur pour tous, sauf le sien ; désir de tous, mais sans désir à elle. Le lieu où tous se rencontrent, mais en l’excluant elle. Passage de la vie qui lui interdit sa vie à elle.
C’est cette liberté que le réfugié, l’immigré, veut, désire mais n’assume pas. L’Occident est vu à travers le corps de la femme : la liberté de la femme est vue à travers la catégorie religieuse de la licence ou de la « vertu ». Le corps de la femme est vu non comme le lieu même de la liberté essentielle comme valeur en Occident, mais comme une décadence : on veut alors le réduire à la possession, ou au crime à « voiler ».
La liberté de la femme en Occident n’est pas vue comme la raison de sa suprématie mais comme un caprice de son culte de la liberté. A Cologne, l’Occident (celui de bonne foi) réagit parce qu’on a touché à « l’essence » de sa modernité, là où l’agresseur n’a vu qu’un divertissement, un excès d’une nuit de fête et d’alcool peut-être.
Cologne, lieu des fantasmes donc. Ceux travaillés des extrêmes droites qui crient à l’invasion barbare et ceux des agresseurs qui veulent le corps nu car c’est un corps « public » qui n’est propriété de personne. On n’a pas attendu d’identifier les coupables, parce que cela est à peine important dans les jeux d’images et de clichés. De l’autre côté, on ne comprend pas encore que l’asile n’est pas seulement avoir des « papiers » mais accepter le contrat social d’une modernité.

Le problème des « valeurs »

Le sexe est la plus grande misère dans le « monde d’Allah ». A tel point qu’il a donné naissance à ce porno-islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs « fidèles » : descriptions d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux, fantasme des vierges pour les kamikazes, chasse aux corps dans les espaces publics, puritanisme des dictatures, voile et burka.
L’islamisme est un attentat contre le désir. Et ce désir ira, parfois, exploser en terre d’Occident, là où la liberté est si insolente. Car « chez nous », il n’a d’issue qu’après la mort et le jugement dernier. Un sursis qui fabrique du vivant un zombie, ou un kamikaze qui rêve de confondre la mort et l’orgasme, ou un frustré qui rêve d’aller en Europe pour échapper, dans l’errance, au piège social de sa lâcheté : je veux connaître une femme mais je refuse que ma sœur connaisse l’amour avec un homme.
Retour à la question de fond : Cologne est-il le signe qu’il faut fermer les portes ou fermer les yeux ? Ni l’une ni l’autre solution. Fermer les portes conduira, un jour ou l’autre, à tirer par les fenêtres, et cela est un crime contre l’humanité.
Mais fermer les yeux sur le long travail d’accueil et d’aide, et ce que cela signifie comme travail sur soi et sur les autres, est aussi un angélisme qui va tuer. Les réfugiés et les immigrés ne sont pas réductibles à la minorité d’une délinquance, mais cela pose le problème des « valeurs » à partager, à imposer, à défendre et à faire comprendre. Cela pose le problème de la responsabilité après l’accueil et qu’il faut assumer.

Kamel Daoud est un écrivain algérien. Il est notamment l’auteur de Meursault, contre-enquête (Actes Sud, 2014), Prix Goncourt du premier roman. Il est également chroniqueur au Quotidien d’Oran. Cet article a d’abord été publié en Italie dans le quotidien La Repubblica.

samedi 27 février 2016

Des animaux en détresse....





Des animaux en détresse...Et maltraités en France.


Ce regard malheureux qui nous interpelle.


Ils ne demandent qu'un peu d'amour.


On n'a pas le droit de les faire souffrir.

samedi 20 février 2016

Réaménagement de la traversée de commune à Petit-Wingen


Croisement rue des Vosges/route de Climbach avec rue des Châteaux-Forts, rue des Jardins et rue des Sapins au lieu-dit Petit-Wingen.


Le 10/02/2016, M.le Maire de Wingen a présenté aux habitants ce projet. Le Bureau d’études l'a exposé en présence d'un représentant du département.

 Ce qui suit est l'avis de A. Willy Schumacher, admis en commentaire sur ce blog.

Liminaire : Il nous a été précisé qu'il ne serait question que de l'aménagement d'un carrefour routier avec positionnement sécurisé d'un arrêt de bus, de trottoirs, de cheminement et passages ainsi que de places de parking. Les aménagement urbains tels que « abribus », mobilier urbain, fontaines, panneaux d'information, etc..ne font pas l'objet de ce projet.
Nous pensons néanmoins qu'il faut les préciser pour que l'infrastructure nécessaire soit déjà incorporée au « schéma routier », réseaux divers par exemple.
Sur le plan présenté nous avons identifiés des points plus ou moins critiques.
Sur la circulation :
  1. - Le raccordement rue des Châteaux-Forts/rue des Vosges nous paraît sécurisé. Il faut veiller a ce que l'espace vert et le trottoir sur le pignon du Restaurant soit réellement inaccessible aux véhicules. Un élément en grès des Vosges serait tout à fait approprié au caractère de cette place. La signalétique devra être placé quelques mètres avant la jonction pour ne pas déparer l'aménagement des fontaines.
  2. - Le raccordement rue des Sapins/route de Climbach est totalement in-sécurisé. De l'expérience des usagers il ressort :
Pour un véhicule venant de la rue des Sapins : il y a un angle mort pour voir l'arrivée d'un véhicule venant route de Climbach. Cette rue a un goulot d'étranglement de 3,71m de large, au droit de l'entrée de la maison au n°3.Il n'y a pas de trottoir pour sécuriser le passage des piétons. Les voitures ne peuvent évidemment pas se croiser, à fortiori les éventuels grumiers, tracteurs et autres poids lourds. Le cheminement des riverains depuis la rue des Sorbiers des Oiseleurs et le chemin des Bosquets est périlleux, la vitesse n'étant pas drastiquement réduite.
Pour un véhicule venant route de Climbach allant rue des Sapins, il est de pratique courante que le conducteur se déporte complètement à gauche pour effectuer un presque demi-tour. Il s'expose évidemment ainsi aux véhicules venant de la rue des Vosges qui ne peuvent pas le voir.
La disposition des maisons, de cette rue (ancien chemin rural) et des pentes, font qu'il n'est pas possible de se raccorder perpendiculairement à la chaussée principale. Il faut donc que la vitesse à cet endroit soit très limitée pour permettre à chaque usager d’appréhender à temps les mouvements.
Sur les trottoirs :
Les trottoirs compte tenu du positionnement actuellement proposé de l’arrêt de bus, semblent cohérent. Néanmoins cet arrêt est trop éloigné du débouché de la rue des Châteaux-Forts/rue des Vosges, rue des Jardins et de la rue des Sapins et de surcroît du côté direction Climbach, les piétons traverseront en ligne droite !
Sur les places de stationnement :
Deux places sont proposées ce qui est bien évidemment très insuffisant. L'habitude actuelle pour les clients du restaurant et de la ferme, continuera avec stationnement sur la chaussée.
Sur le traitement des surfaces :
Asphalte pour la départementale et les rues. Traitement différencié pour les espaces piétons.
La traversée de ce carrefour bien que ralentie par des « chicanes » à l'entrée route de Climbach ne se distinguera pas de la route « plein champs ».
oOo
Il nous semble que ce carrefour devait être transformé en PLACE avec une vitesse de circulation au pas.
Alors :
L'abribus, les panneaux d'information, un éclairage convivial seraient placés au centre là ou ils sont actuellement.
Le stationnement de véhicules pourraient se faire plus librement sur un coté de chaussée.
Les piétons pourraient emprunter les trottoirs et passages sans être surpris par les surgissements trop rapides de véhicules de toutes nature.
La chaussée serait rehaussée significativement avec des rampes de ralentissement (sans gène mécanique excessive) et un revêtement considérablement différent de l'asphalte.avec un éclairage concentré sur le carrefour et les aménagements urbains.
Un ralentissement ainsi provoqué sur une centaine de mètre ne ferait guère perdre de temps au franchissement du carrefour (11 sec de plus entre 20 et 50 km/h !) et permet de freiner sur 2m au lieu de 14m ! Ceci démontre l'incomparable bénéfice de sécurité : visibilité, perception des mouvements et appréhension des man?uvres. Rappel pour ceux qui pestent contre les ralentissements !
La sortie ou l'entrée des véhicules dans la rue des Sapins qui se font « au pas » serait compatible avec un même trafic « au pas » sur la route de Climbach !
Qu'est-ce que 11 secondes de « perdues » pour éviter le pire.
Actuellement, à Lembach, à Woerth, la vitesse est limitée à 30 km/h de part et d'autre du carrefour ! Et même à Wingen, de part et d'autre du carrefour de la Mairie.

En conclusion une réduction de la vitesse, physiquement et réglementairement imposée,  permettrait de disposer librement les aires et aménagements nécessaires.


A. Willy Schumacher

hit parade

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