mardi 16 avril 2019

La cathédrale




Qui la' détruite ??? Un accident ?


Ceux qui s'en réjouissent ne méritent pas d'être français


La police enquête...

Il y a quelques années 2 femmes voilées jusqu'aux dents ( jusqu'aux yeux ) avaient été arrêtées dans une rue à 100 m de la cathédrale...avec plusieurs bonbonnes de gaz dans le coffre de leur voiture avec intention d'endommager Notre Dame.

Alors un accident par imprudence, je n'y crois pas trop.
Strasbourg a été une cible pour les islamistes Un attentat a été déjoué il y a  environ une dizaine d'années

Puis Noel 2018 l'horreur de l'attentat, des morts des blessés. La douleur!
D'autre lieux sont ciblés, les cimetières juifs régulièrement, écoles agressions violentes parfois,
Tuerie dans les églises et agressions des lieux de culte.

Notre culture de LIBERTE n'est pas tolérée ?

jeudi 11 avril 2019

Site touristique ...Dommages collatéraux....dangers...escroquerie tout est possible à Wingen







Le projet d'un site touristique était d'une belle ampleur, par rapport au petit village de Petit Wingen ( d'où le nom " petit" ) dont les ruelles sont si étroites qu'il n'y a pas d'espace possible pour un mini-trottoir...village n'atteignant pas la centaine d'habitants...

Ce projet n'est sans doute pas tout à fait étranger à l'installation de la fameuse station d'eau tant controversée qui alimenterait pour les besoins en eau les touristes venant de l'autre côté du Rhin, cherchant le calme et la douceur de vivre dans notre hameau de verdure et de forêts.

Personne n'avait demandé notre avis sur ce projet.
Aucune concertation avec les villageois
Un choix imposé
Une démocratie à la verticale

Par 2 fois la résistance du hameau a fait réfléchir et reculer les investisseurs! Merci aux résistants!
Grand Wingen est loin à 2 km du lieu retenu, ne risquant ni trafic intense et dangereux pour les riverains, ni pollution, ni nuisances sonores.


L'AUTRE VOLET est une escroquerie de la municipalité! La cerise sur le gâteau...


Suite à des ambitions démesurées touristiques nous avons des dommages collatéraux graves. C'est à dire une station de pompage des eaux installée soit disant par erreur selon le 1er Elu, sur un  terrain privé.!
 Des fils électriques au sol dangereux  ( électrocution ) Un transformateur électrique à portée de mains presque
( bricolage ES bonjour les dégâts )  Une bonne cabane vieillie qui n'a plus de verrou, donnant accès facilement en forçant un peu à la machinerie branchée au courant électrique et à l'eau évidemment !( danger encore)
Electricité de Strasbourg dans la foulée s' est également installée sur terrain privé sans autorisation Egalement !


Dernière nouveauté : Le terrain privé de 200m2 est tombée dans l'escarcelle de la commune par un tour de passe-passe administratif !
.Les propriétaires ont été dépossédés du terrain, sans vente, Le dernier plan cadastral montre avec évidence l'implantation des 4 bornes délimitant la surface La station y figure également.

Comment une municipalité avec un maire 1er élu qui a aussi la fonction d'officier de police
peuvent ils se comporter en " voyou " arnaqueur !  Bravo !

MHSCH
Propriétaire du terrain


Qui ne dit rien ...consent ! Qui ne contrarie pas...consent !







L' Arnaque se fait insidieusement, par surprise, Un jour ou un moment vous remarquez qu'on vous a escroqué, volé des biens divers et variés même si ce n'est qu' une bricole...

 ...Colère injustice toutes sortes de sentiment vous agitent
Vous êtes le dindon de la farce.
L'imbécile qui s'est fait avoir...


L'arnaqueur est aussi un manipulateur. Qui essaie d'obtenir de vous des arrangements, des aménagements, des services, des dons, n'importe quoi.  On vous caresse dans le sens du poil. Gentillesses, amabilités et toutes les postures qui vont avec. Empathie bien sûr.

L'ambiance est plutôt sympathique.
 On a besoin de vous. On cherche des gens comme vous, qui comprennent le bien fondé de la demande qui vous est soumise. Comprenez la problématique qui se pose en cas d'incompréhension ou de refus de votre part.
Et patati et patata ! Une douce intimidation psychologique qui vous fait comprendre que c'est bien de céder à la demande suggérée...

On ne dit rien, on consent. On ne contrarie pas
Oui on dit oui, on consent parce qu'on a été manipulé. Malheureusement.
MSCH









lundi 8 avril 2019

La commune de Wingen a déjà volé le terrain




La commune nous a déjà volé notre terrain de 200 m2

Elle nous a déjà dépossédés.

Sur le plan cadastral est bien implantée la station de pompage.

Implantés également les 4 bornes délimitant la surface du terrain illégalement acquis.

Nous confirmons qu'aucune vente n'a été signée.

Dépossédés...CA VA MAL SE PASSER   
M W Schumacher

( Texte envoyé à Mr le Maire par E-mail au secrétariat de la mairie de Wingen )

Petit Wingen Station de pompage illégalement implantée



Station de pompage des eaux
Projet très décevant
Verrue dans le paysage bucolique au lieu dit ' Goetzenweg ' Site protégé

Mr Weisbecker Mrs les conseillers,

Nous vous rappelons notre discussion du 25 2 2019....Et celle du 14 juillet 2016 également, sur l'éventuel déplacement de la station qui se trouve sur notre parcelle privée depuis fin 2010 début 2011.


Vous deviez prendre contact, à ce sujet avec un responsable des services compétents.

6 semaines se sont écoulées et vous n'avez donné suite.
 9 ans également depuis sa construction. DESOLANT

La politique  laisser pourrir la situation, la commune y trouve que des avantages ???

En 2016 vous aviez proposé de déplacer la baraque bleue de l'autre côté de la route à condition que nous prenions en charge tous les frais.

Proposition incongrue, (qui prête à sourire) Les propriétaires lésés devraient règler le coût de l'erreur du conseil municipal.
Nous demandons votre attention, et un règlement rapide du préjudice.
Cordialement
M W Schumacher

( Texte envoyé à Mr le Maire par E-mail au secrétariat de la mairie de Wingen )




mercredi 3 avril 2019

Ne pas faire souffrir l'Animal

En 1843 déjà Victor Hugo exprimait sa compassion pour

les Animaux maltraités !!!


Victor Hugo en voyage "touristique" en Espagne décrit la souffrance animale et plus généralement le non respect de l'homme envers la nature. Vers 1800!


Ce matin, à trois heures, bien avant le jour comme vous voyez, je me suis installé dans le coupé de la diligence de la "Coronilla de Aragon", et je suis sorti de Tolosa.

J’avais la tête alourdie par cette espèce de sommeil où la fatigue d’une mauvaise nuit, l’air frais du matin et le roulement de la voiture plongent le voyageur. Vous connaissez cette somnolence à la fois opaque et transparente où l’esprit flotte à demi noyé, où les réalités qu’on perçoit confusément tremblent, grandissent, chancellent, s’effarent, et deviennent des rêves tout en restant des réalités. Une diligence devient un tourbillon, et reste une diligence. Les bouches des gens qui parlent sonnent comme des trompes ; au relais la lanterne du postillon flamboie comme Sirius : l’ombre qu’elle projette sur le pavé semble une immense araignée qui saisit la voiture et la secoue entre ses antennes.
 C’est à travers cette rêverie grossissante que mes huit mules et mes trois postillons m’apparaissaient.
Mais n’y a-t-il pas quelquefois de la raison dans les hallucinations, de la vérité dans les rêves ? et les états étranges de l’âme ne sont-ils pas pleins de révélations ?
Eh bien, vous le dirai-je ? dans cette situation où tant de philosophes ont vainement essayé de s’étudier eux-mêmes, des doutes singuliers, des questions bizarres et neuves se présentaient à ma pensée.

 Je me demandais :

 Que peut-il se passer et que se passe-t-il en ces pauvres mules, qui, dans l’espèce de somnambulisme où elles vivent, vaguement éclairées des lueurs vacillantes de l’instinct, assourdies par cent grelots à leurs oreilles, presque aveuglées par le "guarda-ojos", emprisonnées par le harnais, épouvantées par le bruit de chaînes, de roues et de pavés qui les suit sans cesse, sentent s’acharner sur elles dans cette ombre et dans ce tumulte trois Satans qu’elles ne connaissent pas, mais qu’elles sentent, qu’elles ne voient pas, mais qu’elles entendent ? Que signifie pour elles ce songe, cette vision, cette réalité ? Est-ce un châtiment ? mais elles n’ont pas fait de crime. Que pensent-elles de l’homme ?
Mon ami, l’aube commençait à poindre ; un coin du firmament blanchissait de cette blancheur sinistre qu’a toujours la première lueur du matin ; tout ce qui vit de la vie distincte et précise dormait encore dans les nids perdus sous les feuilles et dans les cabanes enfouies dans les bois ; mais il me semblait que la nature ne dormait pas ; les arbres entrevus dans l’obscurité comme des fantômes se dégageaient peu à peu de la brume dans les gorges profondes de Tolosa et apparaissaient au-dessus de nous au bord du ciel comme s’ils avançaient la tête par-dessus le sommet des collines ; les herbes frissonnaient sur la berge du chemin ; sur les rochers, des broussailles noires et confuses se tordaient comme avec désespoir ; je n’entendais aucun bruit, aucune voix, aucune plainte ; mais, je vous le dis, il me semblait que la nature ne dormait pas ; il me semblait qu’elle se réveillait peu à peu autour de nous, et que, dans ces arbres, dans ces herbes, dans ces broussailles, c’était elle, la mère commune, qui se penchait avec une douleur ineffable et une inexprimable pitié, du bord du chemin et du haut des montagnes, pour voir passer et souffrir dans cette route pleine de ténèbres ces pauvres mules épouvantées, ces animaux abandonnés et misérables qui sont ses enfants comme nous, et qui vivent plus près d’elle que nous.

Ô mon ami, si la nature en effet nous regarde à de certaines heures, si elle voit les actions brutales que nous commettons sans nécessité et comme par plaisir, si elle souffre des choses méchantes que les hommes font, que son attitude est sombre et que son silence est terrible !

Nul n’a sondé ces questions. La philosophie humaine s’est peu occupée de l’homme en dehors de l’homme, et n’a examiné que superficiellement et presque avec un sourire de dédain les rapports de l’homme avec la chose et avec la bête qui à ses yeux n’est qu’une chose. Mais n’y a-t-il pas là des abîmes pour le penseur ?
Doit-on se croire insensé parce qu’on a dans le cœur le sentiment de la pitié universelle ? N’existe-t-il pas de certaines lois d’équité mystérieuse qui se dégagent de l’ensemble des choses, et que blessent les voies de fait inintelligentes et inutiles de l’homme sur les animaux ? Sans doute la souveraineté de l’homme sur les choses ne peut être niée ; mais la souveraineté de Dieu passe avant celle de l’homme. Or, pensez-vous, par exemple, que l’homme ait pu, sans violer quelque intention secrète et paternelle du créateur, faire du bœuf, de l’âne et du cheval les forçats de la création ? Qu’il les fasse servir, c’est bien ; mais qu’il ne les fasse pas souffrir ! […]

Quant à moi, je pense que la pitié est une loi comme la justice, que la bonté est un devoir comme la probité. Ce qui est faible a droit à la bonté et à la pitié de ce qui est fort. […]

Il y a dans les rapports de l’homme avec les bêtes, avec les fleurs, avec les objets de la création, toute une grande morale à peine entrevue encore, mais qui finira par se faire jour et qui sera le corollaire et le complément de la morale humaine.

J’admets les exceptions et les restrictions, qui sont innombrables, mais il est certain pour moi que, le jour où Jésus a dit : « Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fît », dans sa pensée autrui était immense ; autrui dépassait l’homme et embrassait l’univers.

L’objet principal pour lequel a été créé l’homme, son grand but, sa grande fonction, c’est d’aimer. Comprendre ne vient qu’après. Dieu veut que l’homme aime. L’homme qui n’aime pas est au-dessous de l’homme qui ne pense pas. En d’autres termes, l’égoïste est inférieur à l’imbécile, le méchant est plus bas dans l’échelle humaine que l’idiot.

Chaque chose dans la nature donne à l’homme le fruit qu’elle porte, le bienfait qu’elle produit. Tous les objets servent l’homme, selon les lois qui leur sont propres ; le soleil donne sa lumière, le feu sa chaleur, l’animal son instinct, la fleur son parfum. C’est leur façon d’aimer l’homme. Ils suivent leur loi, et ne s’y refusent pas et ne s’y dérobent jamais ; l’homme doit obéir à la sienne. Il faut qu’il donne à l’humanité et qu’il rende à la nature ce qui est sa lumière à lui, sa chaleur, son instinct et son parfum, l’amour.
Sans doute, c’était le premier devoir — et c’est par là qu’on a dû commencer, et les divers législateurs de l’esprit humain ont eu raison de négliger tout autre soin pour celui-là — il fallait civiliser l’homme du côté de l’homme. La tâche est avancée déjà et fait des progrès chaque jour. Mais il faut aussi civiliser l’homme du côté de la nature. Là, tout est à faire.
Voilà ma rêverie. Prenez-la pour ce qu’elle est ; mais quoi que vous en disiez, je vous déclare qu’elle vient d’un sentiment profond que j’ai en moi. Maintenant, pensons-y, mais n’en parlons plus. Il faut jeter la graine, et laisser le sillon faire.

(Pyrénées, 1843, Pampelune, 11 août.)

JE SUIS CONTRE LA SOUFFRANCE ANIMALE







ILS SONT ETOUFFES par le continent de plastiques qui flottent dans nos mers et océans...


Je viens d'apprendre que leur asphyxie et leur longue agonie durent 4 HEURES...
lorsqu'ils sont pêchés.

Quelle cruauté !

La Mouche





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