mercredi 14 septembre 2016

Petit Wingen Notre abri de bus pourri....Oui c'est la honte.




 L'équipe municipale s'est dépêchée de faire disparaître la
 " honte" Ils ont astiqué, frotté, lavé.

C'est pas resté 24 heures ! D'ordinaire pour une réponse à une demande, c'est pas si   "quick " que ça.  Il faut attendre même 2 ou 3 mois.  Pouf !

Mais les 17 photos montrent que c'est toujours " la merde "
la pourriture... Pouf !
Il y a 6 mois nous avions une réunion où les riverains étaient convoqués pour la rénovation de la petite place.
Depuis plus de nouvelles des éventuels travaux.

On croise les doigts... Pouf !
Il n'y a plus de pilote dans l'avion ?
La Mouche

















mercredi 7 septembre 2016

Pas de " HAINE " svp..




Il braille ...de joie de vivre.... pas de "haine "

L'animal plus censé que l' humain...?

L'homme doit changer, devenir plus humain.
On ne peut plus vivre avec la haine de l'autre
dans son coeur.


Un travail à faire à l'intérieur de soi-même.

Les porteurs de " haine " sont ils suspects ?
Suspectés de ne pas aimer l'autre, de ne pas le respecter. Suspectés d'envie de vouloir faire le
 mal ? le malheur ? Ca mène à quoi ?

Déposez la " Haine "  elle est mauvaise conseillère.
La Mouche

mardi 6 septembre 2016

Les musulmans veulent créer un parti politique en France..... Inacceptable !


De Gaulle réveillez- vous... L'islam veut créer un parti politique en notre beau pays de liberté ....
Vous avez combattu de toutes vos forces HITLER ET LE NAZISME Nous voilà à nouveau en danger.  Où sont nos grands hommes politiques ???

La Mouche




























vendredi 2 septembre 2016

Le burquini sur la plage...et la viande " halal "dans nos assiettes l'islam s'invite partout chez nous!



J'ai beaucoup apprécié l'analyse précise et pointue de Dominique Jung  D.N. d'Alsace sur la décision du Conseil constitutionnel, favorable au burquini...

Cette analyse je l'apprécie et elle confirme mon ressenti.

Les salafistes veulent  et on fait passer en douce et en force leur idéologie d'un autre temps !

Nous devons combattre de toutes nos forces l'islamisation sournoise et rampante qui infiltre notre belle France

Tous les passe-droits accordés, ce gouvernement doit revenir sur la plupart des accords.


Les abattoirs où passent nos millions d'animaux de boucherie, doivent être abattus dignement avec un minimum de souffrance, et selon nos critères. C'est à dire l'engourdissement indispensable pour alléger leurs souffrance et agonie qui durent 15 ou 20 minutes...
Arrêtons ces tueries à la méthode  " halal " Les français sensible au bien être animal, n'en veulent pas.

Un verset du coran stipule que le musulman peut manger de la viande non halal.

Nos politiques, comme des marchands de tapis, nous ont vendus et la France avec, à l'islam.
Mosquées...passe-droits et arrangement divers, contre des millions d'électeurs qui ont apporté les voix
nécessaires aux candidats.
La nouvelle mosquée de Strasbourg a été financée à hauteur de 10% par nous, les contribuables de la région. Le maire Roland Ries étant un élu socialiste...
Nous sommes de race blanche et de civilisation chrétienne depuis plus de 20 siècles et c'est parce qu'en France on n'a plus le droit de le dire, ( pour ne pas gêner sans doute les français musulmans, nos candidats veulent les ménager et oui ! ) que je le revendique .

Les français resteront toujours épris de liberté et de démocratie. Pour cela nous devons être vigilants.
Car nos hommes politiques ne sont que de vulgaires marchands de tapis à la vue basse.
La Mouche



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mercredi 31 août 2016

Burquini... Révolution des moeurs..D Jung DN d'Alsace



L'Editorial du 27 Août 2016

Révolution des moeurs

Tous les maires n'approuvent pas l'arrêt du Conseil d'Etat concernant le maillot de bain islamique, mais au moins savent-ils quelle attitude adopter : la liberté d'aller et venir dans la tenue de son choix prime sur les autres facteurs.
Les arrêtés antiburquini ne tiennent plus.
Reste que le Conseil d'Etat n'a pas tout réglé. Sa décision constitue un tournant sociologique.
Elle permet à la religion de s'inviter sur nos plages, ce qui semblait indispensable au temps de futiles ritournelles sur les kilos à perdre et crèmes solaires.

Le sable, qui était depuis de Front populaire un espace d'indifférenciation et d'anonymat, devient un terrain de marquage identitaire.
Nous voilà confrontés au retour en force de la baignade habillée, celle-ci n'étant plus commandée par la pruderie des usages bourgeois comme il y a cent ans, mais par les revendications conservatrices d'une religion, l'islam en l'occurrence.

Le maillot de bain islamique relève d'une croisade.
Il entend redéfinir de façon absolue sur nos côtes, la frontière entre décence et l'indécence.
Le burkini est là pour montrer du doigt le bikini. Il rejette vers l'immodestie, voire l'impiété les musulmanes qui osent l'enfiler.

Cela pose la question de l'islam européen.
Celui-ci doit-il reproduire à l'identique les normes en vigueur sur ses terres d'origine ?
Doit-il, où que ce soit, isoler le corps féminin et lui assigner un statut à part, lequel serait forcément voilé ?
Autant on comprend et on soutient les demandes de l'islam d'Europe relatives aux lieux de culte dignes et appropriés, autant on peut douter qu'il faille ériger en exigence irréfutable une simple coutume vestimentaire.
Imagine-t-on que les jeunes catholiques qui ont prié en juillet avec le pape François au grand rassemblement de Cracovie éprouvent, lors de leurs vacances d'août, le besoin irrépressible d'affirmer leur identité et leu foi en arborant un maillot de bain chrétien, de préférence distinct de celui des protestants ?

Dominique JUNG Directeur des Dernières Nouvelles d'Alsace
Strasbourg 27 Août 2016

Le Burkini...l' EDITORIAL de D Jung DN d'Alsace



La Liberté sans la naïveté : est le titre de son éditorial du 26 Août 2016

Même en cherchant avec zèle, on aura du mal à trouver un tribunal iranien ou saoudien chargé de statuer sur le droit des Européennes expatriées à marcher tête et jambes nues à Téhéran ou Riyad.

En revanche, le droit des musulmanes à nager en burquini dans les eaux françaises est devenu un débat commenté avec délectation de Londres à Kuala Lumpur, chaque donneur de leçon enjoignant à la France de ne pas s'enferrer dans les interdits.

Posée en terme de tolérance et de diversité ethnique, la question soumise à nos magistrats semble mener à l'indulgence envers le burquini. La France, nous dit-on, n'a pas à réglementer prioritairement la taille des robes et l'ampleur des maillots de bain. Certes.

Mais il serait naïf de banaliser ce nouvel uniforme estival. Certaines porteuses de burquini, notamment chez les récentes et ardentes converties à l'islam, en font une arme militante au service d'un rapport de forces.

La tenue islamique peut procéder de choix individuels sincères, mais aussi le résultat de pressions insistantes. On l'a vue au début des années 1990 en Algérie, quand les islamistes demandaient aux femmes de porter le hijab.
A l'université de Bab Ezzouar et ailleurs, certaines ont fini par céder, non par brusque conviction textile, mai pour cesser d'être harcelées.
Les villes d'Egypte et de Tunisie ont connu les mêmes injonctions, avec une baisse visible du nombre de femmes non voilées au cours des trente dernières années.
Ce mécanisme d'encerclement est en train de s'exercer sur les musulmanes installées avec nous au nord de la Méditerranée.
Les salafistes veulent les persuader que la décence commande de ne pas sortir tête nue et de ne pas aller à la plage en bikini.
Le Conseille d'Etat a donc une rude tâche : redire les principes du droit français en matières de libertés individuelles sans pour autant donner un blanc-seing à l'importation sournoise du wahhabisme !

Dominique JUNG Directeur des Dernières Nouvelles d'Alsace
Strasbourg le 26 Août 2016

hit parade

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